Médailles et décorations de Courbet
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peintre; Salon; médaille d'or; L'Après-dînée à Ornans; reconnaissance officielle; décoration; jury d’artistes; Bruxelles; Chevalier; ordre de Saint-Georges; Munich; Honneur; artistes; administration française; croix de mérite; déprédations prussiennes;
Gustave Courbet illustre sa soif de légitimité institutionnelle dès son premier Salon : en 1849, L’Après-dînée à Ornans reçoit la médaille d’or de seconde classe et entre dans les collections de l’État. Seule distinction française de sa carrière, il refuse la Légion d’honneur en 1870, préférant les honneurs décernés par ses pairs – médaille d’or de Bruxelles (1869), chevalerie de l’ordre du Saint-Michel à Munich, où il devient baron – affirmant un rapport singulier entre art, reconnaissance et pouvoir.
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