Peindre la prostitution, Défi baudelairien
Temps de lecture: 3 minutes
peinture; prostitution; défi baudelairien; Constantin Guys; héros contemporains; classes dangereuses; médiocrité; courtesanes; noblesse; Titien; peinture de mœurs; fange parisienne; attitudes désespérées; cynisme masculin; femmes galantes; indolences; regards; créatures urbaines; complexité humaine
"Peindre la prostitution, Défi baudelairien" explore la révolution baudelairienne du Salon de 1846, qui substitue la peinture d’histoire par une peinture de mœurs et de la vie moderne. L’article analyse l’archétype du peintre selon Charles Baudelaire, de Constantin Guys à Manet, en valorisant “criminels et filles entretenues” comme nouveaux héros des classes dangereuses. Il met en lumière l’influence de Titien et Goya sur le réalisme parisien, la lecture de Manet par Jean Ravenel et la vision du "Peintre de la vie moderne" capturant la noblesse dans la fange.
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